Résulte qu'avec l'arrivée d'Internet, une fenêtre qui est ouverte au monde et permet la globalisation, le cosmopolitisme et l'interaction de tous les citadins du monde, naissent certains initiales comme cette nouvelle loi sur les restrictions de déchargements dans le réseau : une polémique par la loi tu "antidécharges". Depuis ce blog de technologie nous nous opposons à cette mesure et nous appuyons à la communauté bloguera.
Dans le matin du jeudi 3 décembre 14 “blogueros”, dans une représentation à toute la communauté virtuelle espagnole, ils se sont réunis avec une série de représentants du ministère de Culture et avec la propre tête visible du département, d'Anges González-Sinde, pour échanger pareceres à près des nouveautés qui adhèrent à l'avant-projet de loi d'Économie Soutenable sur la protection de la propriété intellectuelle, avec le manifeste “Dans une défense des droits fondamentaux dans Internet” comme cause de cette réunion. On peut souligner que la réunion a pu se suivre en direct à travers de Twitter.
L'idée unique qu'ils ont apportée depuis la Culture consiste en ce que c'est la première réunion d'une série de réunions dans lesquelles l'échange sera positif. Très distincte, elle est, la sensation que sont sortis les représentants des “blogueros”, qui n'ont pas trouvé beaucoup de disposition au dialogue et considèrent la réunion comme décevant.
L'épicentre de la polémique se concentre sur la possibilité d'interrompre une autorisation préalable, Internet judiciaire, à tous ces abonnés qui déchargent des fichiers protégés par des droits d'auteur. D'un autre côté, dans la loi il doit aux opérateurs “à se faciliter les données” de ces “responsables” qui réalisent probablement des activités vulneradoras des droits d'auteur.
La censure de quelques moyens digitaux, blogs, des pages d'Internet peuvent être une réalité terrible avec les mesures proposées dans l'avant-projet polémique de Loi d'Économie Soutenable : il y a, celui qui ose parler, même, d'une censure. Mais oui, le Cordonnier a assuré que ne se fermera aucune web.
Donc à la réunion on a posé le Gouvernement qui retire la première Disposition Finale du projet de Loi d'Économie Soutenable (LEUR). Cette disposition polémique modifie encore deux lois : celle de Services de la Société de l'information (LSSI, de 2002), et celle de Propriété intellectuelle, (LPI, refondu en 1996).
La réponse du Gouvernement semble tranchante : cette disposition finale ne va pas se retirer. Par ce que la polémique est servie. Mais oui, le texte doit encore être ratifié dans le Parlement, où sera rédigé un règlement de développement de la Loi.
C'est-à-dire l'idée surgit du projet qui a le Gouvernement entre des mains, et qui cherche à créer une Commission de Propriété intellectuelle, qui aura le pouvoir de bloquer le web qui loge ou facilite sans permission des liens à des fichiers soumis à des droits d'auteur, comme à des films, à des chansons et à des jeux vidéo. C'est-à-dire une espèce de Police d'Internet. La polémique par la loi tu "antidécharges" elle est servie : réellement Internet a-t-il {-elle} besoin d'une Commission de Propriété intellectuelle ?
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